Jeudi 1 août 4 01 /08 /Août 02:22

Après avoir appris avec un grande tristesse qu'avec mon amourette d'été nous n'étions pas dans la même classe pour notre année de terminale que je me relança dans les chats de rencontres. Le soir même de la rentrée, je fis la rencontre d'un garçon, qui avait 22 ans, et qui était selon lui un excellent amant.

 

Après avoir sympatisé, il me propose de se voir le lendemain, car il à très envie de me : "démonter : exploser : fracturer et enfin me déboiter l'arrière train"

 

Un peu septique mais très intéréssé je me laisse tenter et lui propose de passer chez lui le lendemain. Il refuse car il habite en caserne et ne peut recevoir de personne chez lui sans avoir des regards douteux de ses voisins et collègues.

Ce n'est pas un soucis me dis-je : Direction le bosquet !!

 

C'est en le rencontrant derrière mon lycée le lendemain que je comprend mieux ses intentions : Une armoire, une montagne de muscle boostés au produits dopants, un véritable spartiate de la nature. Mais je ne me démonte pas, bien au contraire, et je lui baisse mon short directement entré dans ce petit coin de verdure, dans la pénombre des branches d'arbres.

 

Le seul problème avec lui, ça à été la première pénétration. Aucun préliminaire, il est entré direct. J'ai ressenti une vive douleur, accompagné peu de temps après par un énorme plaisir et une juissance certaine.

 

Il me tenait par les hanches et réussissait à me faire avancer dans les feuillages rien que par la force de ses coups de rein.Il me prit alors par les bras pour me surelever du sol et accentuer largement ses puissants coups de queue. Il me lacha d'un coup et je me receptionna du mieux que je le pouvais tout en continuer à prendre un plaisir certain. 

 

Il me claquait les fesses de temps en temps, non sans douleur d'ailleurs, ses mains faisaient la taille de mon visage, et j'étais partagé entre le plaisir et la souffrance, cette frontière très mince dont je ne sais toujours pas ce que j'ai ressenti.

 

Alors qu'il allait  terminer, il sortit et s'approcha rapidement de mon visage en elevant le preservatif afin de me faire une très belle faciale dont je me souviens encore. Il n'avait pas dû éjaculer depuis un bon moment car il m'a littéralement arrosé la totalité du visage avec sa semence (normal pour un pompier me direz vous).

 

Il profita aussi pour enfiler le preservatif sur ses deux doigts et me l'enfoncer totalement par ce trou qu'il avait largement violenté lors de notre ébat. Il me laissa le preservatif dans le cul. Il se releva, enfila ses vetements, prit une cigarette et l'alluma, puis, il me dit :

-"T'es un bonne petite chienne, on se reverra. Au fait, je t'ai déboité comme tu le voulais ?"

Alors que je me remettait à peine, et que j'étais encore au sol, les fesses en l'air, je lui répondis d'une voix incertaine et fatiguée  :

-"on peut dire que oui, tu m'as explosé"

 

Je retourna seul au lycée, enleva le préservatif encore présent dans mon derrière aux toilettes, et essaya du mieux que je le pouvais de ne pas boiter pour aller en cours.

Il avait tenu sa promesse, il m'avait détruit, explosé, défoncé, fracturé et déboité.

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Par journaldexhboy
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  • Je m'identifis souvent par une chose et une seule, ma dépendance. Pas au sexe non, mais plutot à la semence qui sort de celui des autres hommes. Ce nectar si délicieux que je peux sentir couler au fond de ma gorge, sur mon visage ou mes cuisses...

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