journal intime de xhboy

Bienvenue à tous sur mon journal intime.

Mon blog est en façon mon recueil, ma vie sexuelle, j'y fait la description de mes aventures, mes souvenirs, mon vécut, tout en les illustrants avec une image, une image hentai, représentant mon comportement dans cet acte, et restant le plus fidèle possible avec l'image que je garde de ce moment.

Ce n'est pas un blog pornographique montrant des images juste pour le plaisir, mais ces images représentent ma vie sexuelle et mes fantasmes.

Je ne dévoilerais pas mon identité, ni celle de mes partenaires, mais feraient une description rapide et un long passage sur le déroulement de mes aventures.

Ce site n'est pas un lieu de commentaires homophobes, les seuls commentaires acceptés sont ceux qui me semblent corrects et qui ne polémiquent pas.

Les premiers articles seront écrits autour des mêmes dates car je vais faire un article pour chaque souvenirs marquants, qu'ils datent de x années ou de x minutes.

Tout ces récits seront des histoires vraies, je ne fais cela que pour partager et faire découvrir ma vie sexuelle débordante !

Sur ce, bonne lecture !

Ma deuxième fellation est arrivée un peu plus tard, j'étais alors dans ma première année de lycée.

Je jouais activement, comme beaucoup d'autres jeunes de mon âge à des mmorpg, notamment un au style de dessin se rapprochant des mangas.

Je fis alors la rencontre dans le jeux d'un étudiant qui avait 5 ans de plus que moi, et qui habitait dans la même ville que moi. Au fur et à mesure de la conversation j'appris donc qu'il était gay, et qu'il aimait beaucoup rencontrer d'autres personnes pour passer des "nuits sans lendemain".

Il me fit partager ses experiences sexuels et m'excitait à chaque fois qu'il me parlait.

Un soir, après un "plan cam" où il me montra ses "attributs", il me demanda si j'avais envie de le sucer longuement et passionement. C'est en étant un peu intimidé que je répondis par l'affirmative. Nous avons donc cherchés ensemble un moyen de se rencontrer, pour que je puisse assouvir son désir.

Il s'averait qu'il ne pouvait pas me recevoir chez lui car il était en coloc', et moi, vivant chez mes parents à 30 minutes de mon lycée, il était impossible de faire ça chez l'un ou chez l'autre.

Mon lycée était derrière une exploitation d'un producteur de légumes, qui pocédait, au milieu de ses plantations, un petit bosquet dans lequel les lycéens vont se cacher pour devenir des vrais rebels. J'entends par de vrais rebels fumer des mentols et boire du panaché.

Le lendemain de notre plan cam, comme tous les jeudis à l'époque, je participais à une activité sportive scolaire, qui avait lieu entre 18h et 20h. Mon emploi du temps me laissait un temps libre d'une heure avant le début de mes entrainements.

Nous nous sommes donc donnés rendez-vous directement dans ce bosquet, derrière un engin agricole.

Le jour du rendez-vous, lors de mon dernier cours de la journée, je trépignais d'impatience, repensant à son pénis vu la veille sur l'écran de mon ordinateur. Lorsque la sonnerie retentie, je suis resté tétanisé, par la peur de rencontrer ce garçon, dans un lieu ou quelqu'un pourrait nous surprendre, mais ayant tellement envie de sentir du sperme sur ma langue, je pris mon courage à deux mains et me faufila discretement dans le champs, puis dans le bosquet.

Il y faisait sombre, mais je put apercevoir celui avec qui j'avais rendez-vous. Je n'eu pas le temps de lui dire "salut" qu'il enleva déjà son pantalon et son caleçon en me disant :

-"On est pas là pour parler, alors viens me sucer ma petite chienne"

N'étant pas préparer à ce qu'on m'adresse la parole comme ça, mon excitation retomba en chute libre et je n'eu plus envie de lui faire ce qu'il attendait de moi. Je commença à lui dire qu'il pourrait avoir un minimum de respect et à faire demi-tour qu'il me sauta dessus et me jetta à genoux au sol, il mit alors directement sa queue dans ma bouche et donna des coups de reins.

J'avais envie de me débattre, mais cette sensation, ce goût, cette chaleur et ses mouvements de và et vient dans ma bouche... Je me suis laissé faire, sans pour autant participer et ce qu'il faisait, il donnait juste des coups de reins, sans que je ne fasse quoi que ce soit. J'aurais pu me considérer comme violé, mais quand j'ai senti son sperme couler dans ma bouche, ce goût si unique, cette chaleur, qui me passait sur la langue, qui me collait dans la bouche, je n'eu qu'une envie ce fut d'avaler ce fluide et de partir en courant à toute vitesse. Ce que je fis d'ailleurs.

Depuis ce jour je ne contacte plus ce garçon, et ne joue plus à ce jeu, afin qu'il ne profite pas de moi, encore une fois, et de mon addiction pour le sperme.

Ce bosquet, cité dans l'article de ma deuxième fellation, fut le lieu de plusieurs de mes plans culs.

Cette fois ci j'étais en première, et un de mes camarades de classe était très beau, et sutout gay. Nous nous sommes donc rapidement rapprochés, et avons partagés nos experiences. Il était très clairement actif et dominateur. C'est donc dans la plus grande simplicité de la pause déjeuner que nous avons décidé d'aller faire un tour dans le petit bosquet afin de manger (enfin, c'est surtout moi qui allait manger) !

Nous sommes donc assis sur le tronc d'un arbre et avons longuement parlés, avant qu'il ne m'annonce qu'il avait très envie de moi et de me sodomiser. Etant un peu gené mais certes tenté, je me suis dit qu'un petit geste vallait mieux que mille parole et j'ai donc baissé mon pantalon et j'ai baissé mon dos le long d'un arbre. Je sortis au préalable de mon porte-feuille un préservatif à la fraise (je m'en souviens bien, de ma petite fraise des bois !)

Il se baissa et mit sa langue sur mon anus afin de me dilater, je n'avais jamais ressenti un tel plaisir cette fois là, c'était terriblement exquis.

Puis, il me prit les deux fesses et commença tout doucement à me pénétrer, j'avais mal, très mal. Mais me disant que la douleur allait passer une fois qu'il serait dedans, je le laissa continuer.

Il mit du temps avant de bien me dilater, mais une fois bien humide, il put me donner des coups de reins et éxecuter de délicieux mouvements de va et vient sans soucis. Il donna un rythme très rapide et violent sur la fin, je sentis donc qu'il allait bientot jouir dans mon corps.

J'eu une sensation très agréable car ses derniers coups de reins furent d'une telle violence que me fesses restèrent marquées les deux jours suivant, et je ne put m'assoir sans douleur de tout l'après-midi. Il me glissa après avoir jouit à l'oreille :

-"Tu es exquis, j'ai jamais pris autant de plaisir"

Il me fit rougir et nous nous sommes redirigés vers le chemin des cours, dans la pénombre de ce bosquet où je ressenti enormement de plaisir, en s'échangeant des regards torrides et complices toute la journée.